Entre pitié et mépris

Le 5 septembre dernier paraissait dans La Presse une lettre ouverte1 signée James Boudreau, président de la CADEUL. Dans cette lettre, James prenait la parole au nom de ces stagiaires sans salaire. Cet homme s’accordait le droit de parler au nom de stagiaires des domaines féminisés qu’il faudrait prendre en pitié. Une semaine plus tard, […]

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